Sans surprise, le succès d'Elden Ring fait du bien à Bandai-Namco, qui clôt son premier semestre de l'année fiscale 2022 avec un bénéfice net de 456 millions d'euros, là où, à la même période, l'entreprise ne gagnait que 271 ridicules millions d'euros l'année précédente, j'en ris encore. Du côté de Square-Enix, c'est un peu moins la fête, même si ça va, puisque la boîte voit son chiffre d'affaires et ses bénéfices opérationnels baisser par rapport à l'exercice précédent. Les bénéfices nets, eux, continuent d'augmenter, de 156 à 270 millions d'euros, notamment grâce à la vente de plusieurs studios. La morale de cette histoire ? Franchement, si on m'avait demandé il y a 10 minutes qui était le plus gros entre Square et Bandai, j'aurais répondu Square, et j'aurais eu tort (le chiffre d'affaires de Namco-Bandai représente plus du double de celui de Square). C'est probablement pour ça qu'on ne me confie jamais les pages Économie du magazine, j'imagine. N.M.
L’anneau pour les gouverner tous
Sans surprise, le succès d'Elden Ring fait du bien à Bandai-Namco, qui clôt son premier semestre de l'année fiscale 2022 avec un bénéfice net de 456 millions d'euros, là où, à la même période, l'entreprise ne gagnait que 271 ridicules millions d'euros l'année précédente, j'en ris encore. Du côté de Square-Enix, c'est un peu moins la fête, même si ça va, puisque la boîte voit son chiffre d'affaires et ses bénéfices opérationnels baisser par rapport à l'exercice précédent. Les bénéfices nets, eux, continuent d'augmenter, de 156 à 270 millions d'euros, notamment grâce à la vente de plusieurs studios. La morale de cette histoire ? Franchement, si on m'avait demandé il y a 10 minutes qui était le plus gros entre Square et Bandai, j'aurais répondu Square, et j'aurais eu tort (le chiffre d'affaires de Namco-Bandai représente plus du double de celui de Square). C'est probablement pour ça qu'on ne me confie jamais les pages Économie du magazine, j'imagine. N.M.