Que retenir de la longue, très longue campagne marketing de The Callisto Protocol, frisant le monopole total sur nos ondes ? Que Krafton, en qualité d'éditeur en recherche de légitimité sur le marché console, a sorti le chéquier, certes. Mais aussi que son réalisateur, l'affable Glen Schofield à la voix rauque et au teint blême, est plus que confiant sur la possibilité de recréer, plus d'une décennie après sa sortie, ce qui a fait le succès de Dead Space, le TPS survival-horror qu'il a chapeauté au cours de ses années chez Visceral Games. Désormais à la tête de son propre studio Striking Distance, le vétéran du blockbuster à l'américaine promet sang, effroi, et toutes les strass et paillettes que les trois lettres A alignées successivement peuvent évoquer. À cœur vaillant rien d'impossible, si tant est que l'on se donne les moyens d'aller de l'avant, de préférence sans passer trop de temps à regarder dans le rétroviseur.
Test : The Callisto Protocol : sans peur et plein de reproches
Que retenir de la longue, très longue campagne marketing de The Callisto Protocol, frisant le monopole total sur nos ondes ? Que Krafton, en qualité d'éditeur en recherche de légitimité sur le marché console, a sorti le chéquier, certes. Mais aussi que son réalisateur, l'affable Glen Schofield à la voix rauque et au teint blême, est plus que confiant sur la possibilité de recréer, plus d'une décennie après sa sortie, ce qui a fait le succès de Dead Space, le TPS survival-horror qu'il a chapeauté au cours de ses années chez Visceral Games. Désormais à la tête de son propre studio Striking Distance, le vétéran du blockbuster à l'américaine promet sang, effroi, et toutes les strass et paillettes que les trois lettres A alignées successivement peuvent évoquer. À cœur vaillant rien d'impossible, si tant est que l'on se donne les moyens d'aller de l'avant, de préférence sans passer trop de temps à regarder dans le rétroviseur.